L’émerveillement dans ce roman où les récits s’apparentent quelquefois à des contes puisés dans la mémoire collective populaire, découle aussi de cette belle langue soignée au suprême, ciselée, limpide comme du cristal, fluide, sans entraves et sans boursouflure… Dès l’incipit de ce roman «Nazilet Dar El Akeber», l’auteure, Amira Ghnim, nous jette comme un charme, puis nous maintient captifs de …